Fond pointu, panse fuselée, col cylindrique se terminant par une lèvre en bourrelet, anses coudées, de section ronde, avec un « ergot ». Pâte fine, beige parfois brun clair, quelques nodules noirs. Cette amphore, destinée à contenir du vin, appartient à la dernière phase de production des ateliers de l’île de Rhodes (fin Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C). Catherine Grataloup dans Trésors engloutis d’Égypte, Le Seuil, Paris, 2006, avec bibliographie.